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- Ein Sandak oder Sandaq, auch Sandek (hebräisch סנדק Pate; Begleiter eines Kindes) ist die Person, welche bei der jüdischen Beschneidungszeremonie (Brit Mila) den Jungen auf ihren Knien oder Schenkeln hält und ihn auf einem Kissen dem Mohel zur Beschneidung entgegenhält. Während der Brit wird manchmal ein Stuhl neben dem Sitz des Sandeks aufgestellt. Der Stuhl ist für den Propheten Elia reserviert und bleibt während der Zeremonie unbesetzt; dieser Brauch leitet sich aus der Tradition ab, dass Elia Kinder vor Gefahren schützt. Bei zeremoniellen Beschneidungen in der Synagoge wird gelegentlich ein Beschneidungsstuhl verwendet. Solche Stühle oder Bänke haben meistens zwei Sitze. Der Sandak sitzt mit dem Baby links, während die rechte Seite leer bleibt. Der leere Sitz ist dem Propheten Elia reserviert. Es handelt sich um ein Ehrenamt, das im orthodoxen Judentum Männern vorbehalten ist. Im liberalen Judentum können auch Frauen oder Nichtjuden als Sandak amtieren. Der Sandak gilt nach einigen Quellen als Vertreter des Propheten Elia. Das Wort stammt nach dem Sefer Aruch, einem Wörterbuch von Nathan ben Jechiel aus dem 11. Jahrhundert, vom altgriechischen σύνδικος ‚Verwalter einer Angelegenheit‘ ab, von dem auch das deutsche Wort Syndikus abgeleitet ist. Nach einer anderen Erklärung wird das Wort auf das griechische σύντεκνος Synteknos „Gefährte des Kindes“ zurückgeführt. (de)
- Le sandaq ou sandak (hébreu : סנדק, « compagnon d'enfant ») est la personne qui tient, lors de la cérémonie juive de la circoncision (Brit milah), l'enfant mâle sur ses cuisses ou ses genoux et le brandit tandis que le circonciseur (mohel) accomplit la brith milah. Il s'agit d'une position honorifique. Le terme serait dérivé du mot grec suntekos, qui signifie « compagnon de l'enfant » et aurait donné par ailleurs le mot français « syndic ». Le Rav Moshe Isserles (Rema) rapporte la pratique de tenir l'enfant sur les genoux (Yore Dea 265:11). Le dans Yore Dea 265:44 cite le qui explique que cette coutume est fondéee sur Psaumes 35:10 « Tous mes membres diront : qui est comme Toi ? » [YHWH]. Le midrash souligne combien chaque partie du corps est utilisée pour le service de Dieu et explique que placer l'enfant sur ses cuisses durant la brit participe de ce service. Le Rema rappelle que selon la tradition, un père ne devrait pas honorer une personne deux fois en la choisissant comme sandaq pour son enfant car un sandaq est comme un prêtre qui offre l'encens (ketoret) au temple de Jérusalem. Or la règle concernant cette cérémonie est qu'un cohen ne peut l'accomplir qu'une fois dans sa vie, Dieu remerciant celui qui accomplit le ketoret par la prospérité. Il convient donc de permettre à un grand nombre de cohanim d'accomplir l'offrande afin qu'ils puissent être remerciés de la sorte. De manière similaire, il convient de permettre au plus grand nombre de personnes d'être sandaq. Le Gaon de Vilna (YD 265:45) se montre circonspect face à cette interprétation. Premièrement, selon cette logique, une personne ne devrait servir qu'une seule fois de sandaq dans sa vie et non une seule fois par fratrie comme c'est indiqué. Deuxièmement, il indique que l'on n'a jamais vu personne devenir prospère par le simple fait d'avoir été sandaq. Néanmoins, le (Y.D. 265:34) indique que l'on se doit de respecter la coutume telle que mentionnée par le Rema. Il y est précisé cependant que la coutume dans beaucoup de communautés est que le rabbin serve de sandaq pour tous les enfants mâles, ceci étant justifié par la comparaison avec le cohen gadol (le grand prêtre) qui était en droit d'offrir un korban (sacrifice) chaque fois qu'il le désirait. C'est ainsi que le aurait servi de sandaq pour un nombre incalculable d'enfants. L'honneur est traditionnellement donné à un seul homme, juif : un patriarche de la famille (grand-père, arrière-grand-père), un rabbin ou un autre homme connu pour sa vertu et son observance des mitzvot. Chez certains juifs plus détachés de la tradition, il est admis que le sandaq puisse être une femme ou même un non-juif. Dans la plupart des cérémonies, il n'y a qu'un sandaq, mais il est admis que sa femme participe également. Ils sont l'équivalent du parrain et de la marraine. Durant la brit milah, une chaise est parfois placée à côté du siège du sandaq. Elle est réservée au prophète Élie et reste donc inoccupée durant la cérémonie ; cette pratique découle du fait que le prophète protège l'enfant du danger. Selon certaines sources, le sandaq est le représentant du prophète Élie. (fr)
- A sandek or sandak (Hebrew: סנדק "companion of child") is a person honored at a Jewish brit milah (circumcision) ceremony, traditionally either by holding the baby boy on the knees or thighs while the mohel performs the brit milah, or by handing the baby to the mohel. In Modern Hebrew, sandak is also the word for godfather; the film The Godfather is known in Hebrew as HaSandak. (en)
- Sandak (lub sandek; hebr סנדק, prawdopodobnie z gr. συντεκνος -przy dziecku) - osoba, która trzyma podczas obrzezania dziecko na kolanach. Jej praktyczne zadanie polega na unieruchomieniu niemowlęcia w celu umożliwienia dokonania obrzezania przez mohela. Pełnienie roli sandaka było uważane za wielki zaszczyt. Najczęściej był nim dziadek dziecka, ale chętnie widziano w tej roli znanych uczonych w prawie religijnym. Czasem spotyka się porównanie roli sandaka do ojca chrzestnego w chrześcijaństwie. Po prawej stronie sandaka umieszczano tzw. . (pl)
- サンダーク（ミシュナー・ヘブライ語：sandaq, アシュケナジム式ヘブライ語（イディッシュ語）：sandok, sandek, sandik）は、（割礼式）において、割礼の際に、乳児を膝に載せて抱く役割を持つ者のこと。祖父・ラビなどが行う。 英語ではカトリックの代父（名親）から取り、 godfather の用語が当てられる。この役割の者が、名付け親となることもある。 (ja)
- Сандак — в иудаизме аналог крёстных родителей. В момент обрезания сандак держит младенца на руках (а если обрезание делают взрослому человеку, сандак держит голову пациента). (ru)
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- Sandak (lub sandek; hebr סנדק, prawdopodobnie z gr. συντεκνος -przy dziecku) - osoba, która trzyma podczas obrzezania dziecko na kolanach. Jej praktyczne zadanie polega na unieruchomieniu niemowlęcia w celu umożliwienia dokonania obrzezania przez mohela. Pełnienie roli sandaka było uważane za wielki zaszczyt. Najczęściej był nim dziadek dziecka, ale chętnie widziano w tej roli znanych uczonych w prawie religijnym. Czasem spotyka się porównanie roli sandaka do ojca chrzestnego w chrześcijaństwie. Po prawej stronie sandaka umieszczano tzw. . (pl)
- サンダーク（ミシュナー・ヘブライ語：sandaq, アシュケナジム式ヘブライ語（イディッシュ語）：sandok, sandek, sandik）は、（割礼式）において、割礼の際に、乳児を膝に載せて抱く役割を持つ者のこと。祖父・ラビなどが行う。 英語ではカトリックの代父（名親）から取り、 godfather の用語が当てられる。この役割の者が、名付け親となることもある。 (ja)
- Сандак — в иудаизме аналог крёстных родителей. В момент обрезания сандак держит младенца на руках (а если обрезание делают взрослому человеку, сандак держит голову пациента). (ru)
- Ein Sandak oder Sandaq, auch Sandek (hebräisch סנדק Pate; Begleiter eines Kindes) ist die Person, welche bei der jüdischen Beschneidungszeremonie (Brit Mila) den Jungen auf ihren Knien oder Schenkeln hält und ihn auf einem Kissen dem Mohel zur Beschneidung entgegenhält. Während der Brit wird manchmal ein Stuhl neben dem Sitz des Sandeks aufgestellt. Der Stuhl ist für den Propheten Elia reserviert und bleibt während der Zeremonie unbesetzt; dieser Brauch leitet sich aus der Tradition ab, dass Elia Kinder vor Gefahren schützt. Bei zeremoniellen Beschneidungen in der Synagoge wird gelegentlich ein Beschneidungsstuhl verwendet. Solche Stühle oder Bänke haben meistens zwei Sitze. Der Sandak sitzt mit dem Baby links, während die rechte Seite leer bleibt. Der leere Sitz ist dem Propheten Elia res (de)
- Le sandaq ou sandak (hébreu : סנדק, « compagnon d'enfant ») est la personne qui tient, lors de la cérémonie juive de la circoncision (Brit milah), l'enfant mâle sur ses cuisses ou ses genoux et le brandit tandis que le circonciseur (mohel) accomplit la brith milah. Il s'agit d'une position honorifique. Le terme serait dérivé du mot grec suntekos, qui signifie « compagnon de l'enfant » et aurait donné par ailleurs le mot français « syndic ». Selon certaines sources, le sandaq est le représentant du prophète Élie. (fr)
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- Sandak (de)
- Sandaq (fr)
- サンダーク (ja)
- Sandak (pl)
- Sandek (en)
- Сандак (ru)
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