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- The 2006 deportation of Georgians from Russia refers to the deaths, unlawful arrests, expulsions and overall mistreatment of several thousand ethnic Georgians by the Russian government during the 2006 Georgian–Russian espionage controversy. The official Russian position was that Georgians in question violated the Russian immigration law and that their expulsion and treatment in custody was just standard law enforcement. The Georgian government countered that Russia's concerted actions against ethnic Georgians, including properly documented individuals, was an act of political retribution for the arrest of Russian spies and was tantamount to "mild form of ethnic cleansing". Georgian claims were supported by the Human Rights Watch, which documented "the Russian government's arbitrary and illegal detention and expulsion of Georgians, including many who legally lived and worked in Russia..." Georgia subsequently sued the Russian Government in the European Court of Human Rights (ECHR). In 2014, the European Court ruled in Georgia's favor, concluding that Russia's actions in 2006 violated the European Convention on Human Rights. The ruling gave the Russian government a period of 12 months so that it could negotiate with Georgia the precise terms of compensation for damages incurred by the Georgian citizens and their families; in 2015 Georgia officially requested in excess of 70 million Euros in damages for the victims. In 2019, the European Court awarded Georgia with 10 million Euro damages compensation. (en)
- La déportation de géorgiens de Russie en 2006 fait référence aux morts, aux arrestations illégales, aux expulsions et aux mauvais traitements infligés à plusieurs milliers de géorgiens de souche par le gouvernement russe lors de la controverse sur l'espionnage entre la Géorgie et la Russie en 2006. La position officielle de la Russie est que les Géorgiens en question violent la loi russe sur l'immigration et que leur expulsion et leur traitement en détention relevait simplement de l'application standard de la loi. Le gouvernement géorgien rétorque que les actions concertées de la Russie contre les Géorgiens de souche, y compris des individus correctement documentés, constituent un acte de rétribution politique pour l'arrestation d'espions russes et équivaut à "une forme légère de nettoyage ethnique". Les affirmations de la Géorgie sont soutenues par Human Rights Watch, qui documente "la détention et l'expulsion arbitraires et illégales par le gouvernement russe de géorgiens, y compris de nombreux géorgiens qui vivaient et travaillaient légalement en Russie ...". La Géorgie poursuit par la suite le gouvernement russe devant la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH). En 2014, la Cour européenne tranche en faveur de la Géorgie, concluant que les actions de la Russie en 2006 violaient la Convention européenne des droits de l'homme. La décision donne au gouvernement russe un délai de 12 mois pour qu'il puisse négocier avec la Géorgie les modalités précises de l'indemnisation des dommages subis par les citoyens géorgiens et leurs familles; en 2015, la Géorgie demande officiellement plus de 70 millions d'euros de dommages et intérêts pour les victimes. En 2019, la Cour européenne accorde à la Géorgie une indemnité de 10 millions d'euros. (fr)
- Депортация нелегальных и легальных мигрантов 2006 года происходила во второй половине 2006 года в Санкт-Петербурге, Иванове, Калуге, Москве, Краснодаре. Депортация коснулась, в основном, граждан Грузии и происходила в период охлаждения российско-грузинских дипломатических отношений. (ru)
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- Депортация нелегальных и легальных мигрантов 2006 года происходила во второй половине 2006 года в Санкт-Петербурге, Иванове, Калуге, Москве, Краснодаре. Депортация коснулась, в основном, граждан Грузии и происходила в период охлаждения российско-грузинских дипломатических отношений. (ru)
- The 2006 deportation of Georgians from Russia refers to the deaths, unlawful arrests, expulsions and overall mistreatment of several thousand ethnic Georgians by the Russian government during the 2006 Georgian–Russian espionage controversy. The official Russian position was that Georgians in question violated the Russian immigration law and that their expulsion and treatment in custody was just standard law enforcement. The Georgian government countered that Russia's concerted actions against ethnic Georgians, including properly documented individuals, was an act of political retribution for the arrest of Russian spies and was tantamount to "mild form of ethnic cleansing". Georgian claims were supported by the Human Rights Watch, which documented "the Russian government's arbitrary and ill (en)
- La déportation de géorgiens de Russie en 2006 fait référence aux morts, aux arrestations illégales, aux expulsions et aux mauvais traitements infligés à plusieurs milliers de géorgiens de souche par le gouvernement russe lors de la controverse sur l'espionnage entre la Géorgie et la Russie en 2006. La position officielle de la Russie est que les Géorgiens en question violent la loi russe sur l'immigration et que leur expulsion et leur traitement en détention relevait simplement de l'application standard de la loi. Le gouvernement géorgien rétorque que les actions concertées de la Russie contre les Géorgiens de souche, y compris des individus correctement documentés, constituent un acte de rétribution politique pour l'arrestation d'espions russes et équivaut à "une forme légère de nettoyage (fr)
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- 2006 deportation of Georgians from Russia (en)
- Expulsion de géorgiens de Russie en 2006 (fr)
- Депортация из России граждан Грузии в 2006 году (ru)
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