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The Front for the Advancement and Progress of Haiti (FRAPH) (French: Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien) was a far-rightparamilitary group organized in mid-1993. Its goal was to undermine support for the popular Catholic priest Jean-Bertrand Aristide, who served less than eight months as Haïti's president before being deposed, on 29 September 1991, by a coup. The group received covert support and funding from the United States government.

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  • Der Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d’Haiti (FRAPH) (engl. Revolutionary Front for Haitian Advancement and Progress) war eine paramilitärische Todesschwadron, die 1993 mit Unterstützung der USA zusammengestellt wurde, um die Anhänger des 1991 gewählten Präsidenten Jean-Bertrand Aristide auf Haiti zu terrorisieren und zu ermorden. Führer des FRAPH waren Emmanuel Constant, Jean-Pierre Baptiste und Louis-Jodel Chamblain. Letzterer war Constants Stellvertreter. (de)
  • The Front for the Advancement and Progress of Haiti (FRAPH) (French: Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien) was a far-rightparamilitary group organized in mid-1993. Its goal was to undermine support for the popular Catholic priest Jean-Bertrand Aristide, who served less than eight months as Haïti's president before being deposed, on 29 September 1991, by a coup. The group received covert support and funding from the United States government. (en)
  • Le FRAPH (Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d’Haïti, puis devenu Front pour l'Avancement et le Progrès Haïtien), fut une organisation paramilitaire d'extrême droite, de type escadron de la mort qui terrorisa, avec les mêmes méthodes violentes des sinistres Tontons macoutes, la population haïtienne en commettant de nombreux crimes, exécutions sommaires, enlèvements et viols. Le FRAPH fut créé en 1991 par et Louis-Jodel Chamblain. C'est au lendemain du coup d'État militaire qui renversa une première fois le président Jean-Bertrand Aristide, le 30 septembre 1991, que fut créée cette organisation paramilitaire, afin de suppléer les Forces armées d'Haïti (FADH) pendant la dictature du régime militaire de Raoul Cédras. Le FRAPH a œuvré de concert avec les Forces armées d’Haïti dans leur campagne de terreur et de répression contre la population civile d'Haïti. Le FRAPH fut soutenu financièrement et armé par la CIA[réf. nécessaire]. Ses hommes de main reçurent une formation par l'armée haïtienne. Le FRAPH fut utilisé par les militaires pour exercer le contrôle de la population. Le FRAPH a perpétré de nombreuses violations des droits de l’homme dont leur spécialité était la violence sexuelle contre les femmes. La plupart des crimes de FRAPH furent commis dans les quartiers les plus pauvres des villes haïtiennes, car c’était là où se concentrait la base du support populaire d’Aristide. Le FRAPH participa notamment au massacre de Raboteau. En déclarant ouvertement qu’il était à la tête d'un mouvement néo duvaliériste sous la bannière du FRAPH, Emmanuel Constant a cherché à créer une façade politique pour ses activités violentes. Aux États-Unis, l'arrivée de Bill Clinton ouvre de nouvelles perspectives relationnelles entre les deux pays. Aristide fut reçu par Clinton. Le FRAPH fut officiellement dissout après le retour d'Aristide, le 15 octobre 1994, et l'exil de ses chefs. Emmanuel Constant et Louis-Jodel Chamblain se retirèrent aux États-Unis. La justice haïtienne a jugé par contumace, les principaux responsables du FRAPH pour les nombreux crimes commis, notamment le massacre de Raboteau et le meurtre de l'homme d'affaires Antoine Izméry. Emmanuel Constant fut condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité. Il ne revint jamais à Haïti et vit en exil à l'étranger. En février 2004, Chamblain revint d'exil, pour participer à une nouvelle rébellion contre le président Aristide et dirigée par Amiot Métayer puis après son assassinat, par son frère Buteur Métayer. Peu de temps après son retour, Chamblain s'empara de la ville de Hinche avec les forces rebelles de Guy Philippe. Aristide finit par être renversé par le coup d'État de 2004 à Haïti. Après le retour de Chamblain et l'effondrement du gouvernement d'Aristide en 2004, Amnesty International demanda aux casques bleus de l'ONU, de procéder à l'arrestation de Chamblain pour sa participation présumée à des crimes de guerre, notamment en 1987, 1991 et 1993-1994. En avril 2004, Chamblain se rendit aux autorités pour faire face à un nouveau procès. Il fut acquitté dans le cas de l'assassinat Izméry. L'ambassadeur américain à Port-au-Prince, James Foley a sévèrement condamné cette libération, la qualifiant de scandaleuse. Malgré cet acquittement, il resta toujours détenu par les autorités judiciaires qui enquêtaient sur sa responsabilité dans l'incendie qui avait ravagé en partie la Cité Soleil, un bidonville à l'extérieur de la capitale de Port-au-Prince en 1993. Il a finalement été libéré de prison en août 2005 en vertu d'un arrêt de la Cour d'Appel de Port-au-Prince. Le 16 août 2004, une organisation haïtienne de défense des droits de l’homme, la Coalition nationale pour les droits des Haïtiens s’était déclarée profondément « préoccupée » par un procès organisé « de manière incompréhensible, à la ,va-vite » et destiné, selon cette organisation, à trouver « un compromis politique entre le gouvernement provisoire et les anciens rebelles pour blanchir l’ex-numéro 2 du FRAPH ». Dans un rapport sur Haïti, datant de 2004, l'organisation Amnesty International indique que trente-sept accusés dont le général Raoul Cédras, chef du gouvernement militaire, Emmanuel Constant, dirigeant et fondateur de l'organisation paramilitaire, les FRAPH, Michel François, chef de la police et l’adjoint de Cédras, Philippe Biamby, ont été condamnés par contumace. Ils ont écopé de peines d’emprisonnement à perpétuité assorties de travaux forcés et d’une amende d’un milliard de gourdes, l’équivalent de 43 millions d’euros. Ils n’ont toutefois toujours pas été arrêtés. (fr)
  • Il Fronte Rivoluzionario Armato per il Progresso di Haiti (FRAPH) poi divenuto Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien) fu un movimento di estrema destraparamilitare organizzatosi nel 1993. Il suo compito era quello di sabotare il supporto per il presidente cattolico Jean-Bertrand Aristide, che rimase in carica solo per otto mesi come presidente di Haiti prima di venire deposto il 29 settembre 1991, da un colpo di Stato.Il FRAPH fu un'organizzazione para-militaire, del tipo squadrone della morte che terrorizzava con gli stessi metodi violenti dei , la popolazione haitiana commettendo numerosi crimini, esecuzioni sommarie, rapimenti e stupri. Il FRAPH fu creato nel 1991 da e . All'indomani del colpo di Stato militare che destituì la prima volta il presidente Jean-Bertrand Aristide, il 30 settembre 1991, fu creata questa organizzazione para-militare, al fine di supplire le forze militari di Haiti (FADH) durante la dittatura del regime militare di Raoul Cédras. Il FRAPH ha operato d'accordo con le Forze armate di Haiti nella loro campagna di terrore e di repressione contro la popolazione civile del paese caraibico. Il FRAPH fu sostenuto finanziariamente e armato dalla CIA. La CIA e i dirigenti americani (Ronald Reagan e George H. W. Bush consideravano Aristide un comunista). I militanti del FRAPH avevano una formazione militare e furono utilizzati per esercitare il controllo della popolazione civile. FRAPH ha perpetuato numerose e la loro specializzazione era la violenza sessuale sulle donne. La maggior parte dei crimini delle FRAPH furono commessi nei quartieri più poveri delle città haitiane, perché era lì che si concentrava la base del supporto popolare ad Aristide. FRAPH partecipò al . Dichiarando di essere il capo di un movimento a sostegno di Duvalier, Emmanuel Constant ha cercato di creare una facciata politica per le proprie attività violente. Con l'arrivo alla presidenza degli Stati Uniti di Bill Clinton si aprono nuove prospettive nelle relazioni tra i due paesi. Aristide fu ricevuto da Clinton. FRAPH fu ufficialmente disciolto dopo il ritorno di Aristide, il 15 ottobre 1994, e i suoi capi furono esiliati. Emmanuel Constant e Louis-Jodel Chamblain si rifugiarono negli Stati Uniti. La giustizia haitiana ha giudicato in contumacia i principali responsabili del FRAPH per i numerosi crimini commessi, noto il massacro di Raboteau e l'assassinio di . Emmanuel Constant fu condannato in contumacia ai lavori forzati a vita. Non tornò più ad Haiti e visse in esilio protetto a New York dove le numerose richieste di estradizione sono state ignorate. Nel febbraio del 2004, Chamblain tornò dall'esilio per partecipare ad una nuova ribellione contro il presidente Aristide diretta da e dopo l'assassinio di questi dal fratello . Poco tempo dopo il suo ritorno Chamblain si unì alle forze ribelli di . Aristide finì per essere deposto dal colpo di Stato del 2004. Dopo il ritorno di Chamblain e la deposizione del governo di Aristide nel 2004, Amnesty International domandò ai caschi blu dell'ONU, de procedere all'arresto di Chamblain per la sua partecipazione presunta a crimini di guerra, nel 1987, 1991 e 1993-1994. In aprile del 2004, Chamblain si arrese alle autorità per far fronte ai processi. Egli fu scagionato nel caso dell'assassinio di Izméry. L'ambasciatore americano a Port-au-Prince, James Foley ha severamente condannato questa liberazione definendola scandalosa. Nonostante questo Chamblain rimase agli arresti per le inchieste riguardanti la responsabilità sull'incendio che aveva distrutto la Cité Soleil, una bidonville nei sobborghi della capitale Port-au-Prince nel 1993. Fu liberato dalla prigione in agosto del 2005 in virtù di un arresto della Cour d'Appel di Port-au-Prince. Il 16 agosto 2004, una organizzazione haitiana per la difesa dei diritti dell'uomo, la "Coalition nationale pour les droits des Haïtiens", si dichiarò profondamente preoccupata per un processo organizzato in maniera incomprensibile in maniera veloce" e destinato, secondo questa organizzazione a trovare "un compromesso politico tra il governo provvisorio e gli antichi ribelli per salvare l'ex numero due del FRAPH". In un rapporto su Haiti, del 2004, l'organizzazione Amnesty International indica che trentasette accusati tra cui il generale Raoul Cédras, capo del governo militare, Emmanuel Constant, dirigente e fondatore dell'organizzazione paramilitare FRAPH, Michel François, capo della polizia e braccio destro di Cédras, Philippe Biamby, erano stati condannati in contumacia. La condanna stabilita era per il carcere a vita, i lavori forzati e un'ammenda di un miliardo di gourdes, l'équivalente di 43 milioni di euro. Tuttavia essi non furono mai arrestati. (it)
  • ハイチの進歩と発展のための戦線(ハイチのしんぽとはってんのためのせんせん、FRAPH, Front for the Advancement and Progress of Haïti, Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien)は1993年半ばに組織されたハイチでの死の部隊となった米国が後ろ盾となった準軍組織のうちの一つ。その標的は1991年9月29日のクーデターで8ヶ月足らずで職を逐われたカトリック司祭ジャン=ベルトラン・アリスティド大統領への民衆の支持を切り崩すことであった。クーデターに伴い数百人のアリスティド支持者が殺され、多くの人々が難民となりドミニカ共和国や海外に逃れた。 (ja)
  • Фронт за развитие и прогресс Гаити (фр. Front pour l'Avancement et le Progrès Haïtien), первоначально Революционный вооружённый фронт прогресса Гаити (фр. Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d’Haïti; FRAPH), также Frappe — гаитянская крайне правая военизированная организация типа «эскадрона смерти». Продолжал традицию тонтон-макутов. Поддерживал военную хунту 1991—1994, терроризировал сторонников левого президента Аристида. Официально распущен после отстранения хунты, фактически продолжал существовать. Боевики FRAPH сыграли заметную роль в повторном свержении Аристида в 2004 году. (ru)
  • Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien – paramilitarna organizacja haitańska działająca na początku lat 90. XX wieku. Grupa powstała w 1993 roku. Jej przywódcami byli Emmanuel „Toto“ Constant, Alphonse Lahens i Mireille Durocher-Bertin. Organizacja popierała wojskowy reżim (pełniąc niejako funkcję szwadronu śmierci) i zwalczała ruch Lavalas będący politycznym zapleczem obalonego prezydenta Jean-Bertranda Aristide. Do sierpnia 1993 r. zamordowali około 1500 zwolenników Aristide’a. W grudniu 1993 r. podpalili dzielnicę nędzy Cite Soleil. Duża część członków bojówek wywodziła się z dawnej policji politycznej Tonton Macoute. Przywódcy organizacji uciekli z kraju po rozpadzie wojskowego reżimu w 1994 roku. W przeciągu kolejnych lat zostali skazani zaocznie za udział w zabójstwach politycznych. (pl)
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  • Der Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d’Haiti (FRAPH) (engl. Revolutionary Front for Haitian Advancement and Progress) war eine paramilitärische Todesschwadron, die 1993 mit Unterstützung der USA zusammengestellt wurde, um die Anhänger des 1991 gewählten Präsidenten Jean-Bertrand Aristide auf Haiti zu terrorisieren und zu ermorden. Führer des FRAPH waren Emmanuel Constant, Jean-Pierre Baptiste und Louis-Jodel Chamblain. Letzterer war Constants Stellvertreter. (de)
  • The Front for the Advancement and Progress of Haiti (FRAPH) (French: Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien) was a far-rightparamilitary group organized in mid-1993. Its goal was to undermine support for the popular Catholic priest Jean-Bertrand Aristide, who served less than eight months as Haïti's president before being deposed, on 29 September 1991, by a coup. The group received covert support and funding from the United States government. (en)
  • ハイチの進歩と発展のための戦線(ハイチのしんぽとはってんのためのせんせん、FRAPH, Front for the Advancement and Progress of Haïti, Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien)は1993年半ばに組織されたハイチでの死の部隊となった米国が後ろ盾となった準軍組織のうちの一つ。その標的は1991年9月29日のクーデターで8ヶ月足らずで職を逐われたカトリック司祭ジャン=ベルトラン・アリスティド大統領への民衆の支持を切り崩すことであった。クーデターに伴い数百人のアリスティド支持者が殺され、多くの人々が難民となりドミニカ共和国や海外に逃れた。 (ja)
  • Фронт за развитие и прогресс Гаити (фр. Front pour l'Avancement et le Progrès Haïtien), первоначально Революционный вооружённый фронт прогресса Гаити (фр. Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d’Haïti; FRAPH), также Frappe — гаитянская крайне правая военизированная организация типа «эскадрона смерти». Продолжал традицию тонтон-макутов. Поддерживал военную хунту 1991—1994, терроризировал сторонников левого президента Аристида. Официально распущен после отстранения хунты, фактически продолжал существовать. Боевики FRAPH сыграли заметную роль в повторном свержении Аристида в 2004 году. (ru)
  • Le FRAPH (Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d’Haïti, puis devenu Front pour l'Avancement et le Progrès Haïtien), fut une organisation paramilitaire d'extrême droite, de type escadron de la mort qui terrorisa, avec les mêmes méthodes violentes des sinistres Tontons macoutes, la population haïtienne en commettant de nombreux crimes, exécutions sommaires, enlèvements et viols. Le FRAPH fut créé en 1991 par et Louis-Jodel Chamblain. (fr)
  • Il Fronte Rivoluzionario Armato per il Progresso di Haiti (FRAPH) poi divenuto Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien) fu un movimento di estrema destraparamilitare organizzatosi nel 1993. Il suo compito era quello di sabotare il supporto per il presidente cattolico Jean-Bertrand Aristide, che rimase in carica solo per otto mesi come presidente di Haiti prima di venire deposto il 29 settembre 1991, da un colpo di Stato.Il FRAPH fu un'organizzazione para-militaire, del tipo squadrone della morte che terrorizzava con gli stessi metodi violenti dei , la popolazione haitiana commettendo numerosi crimini, esecuzioni sommarie, rapimenti e stupri. Il FRAPH fu creato nel 1991 da e . (it)
  • Front pour l'Avancement et le Progrès Haitien – paramilitarna organizacja haitańska działająca na początku lat 90. XX wieku. Grupa powstała w 1993 roku. Jej przywódcami byli Emmanuel „Toto“ Constant, Alphonse Lahens i Mireille Durocher-Bertin. Organizacja popierała wojskowy reżim (pełniąc niejako funkcję szwadronu śmierci) i zwalczała ruch Lavalas będący politycznym zapleczem obalonego prezydenta Jean-Bertranda Aristide. Do sierpnia 1993 r. zamordowali około 1500 zwolenników Aristide’a. W grudniu 1993 r. podpalili dzielnicę nędzy Cite Soleil. Duża część członków bojówek wywodziła się z dawnej policji politycznej Tonton Macoute. Przywódcy organizacji uciekli z kraju po rozpadzie wojskowego reżimu w 1994 roku. W przeciągu kolejnych lat zostali skazani zaocznie za udział w zabójstwach polityc (pl)
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  • Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d’Haiti (de)
  • Front for the Advancement and Progress of Haïti (en)
  • FRAPH (fr)
  • Front Révolutionnaire Armé pour le Progrès d'Haiti (it)
  • ハイチの進歩と発展のための戦線 (ja)
  • FRAPH (pl)
  • Frente para o Avanço e o Progresso do Haiti (pt)
  • Фронт за развитие и прогресс Гаити (ru)
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