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Democratic security or Democratic security policy refers to a Colombian security policy implemented during the administration of the Former President Álvaro Uribe (2002-2010). It was unveiled in June 2003.

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  • Democratic security or Democratic security policy refers to a Colombian security policy implemented during the administration of the Former President Álvaro Uribe (2002-2010). It was unveiled in June 2003. (en)
  • La política de seguridad democrática en Colombia fue una política gubernamental del expresidente Álvaro Uribe (2002-2010) que propuso un papel más activo de la sociedad colombiana dentro de la lucha del Estado y de sus órganos de seguridad frente a la amenaza de grupos insurgentes y otros grupos armados ilegales en el marco del conflicto armado interno en Colombia. La política de seguridad democrática plantea que existe la necesidad de fortalecer las actividades y presencia de los órganos de seguridad a lo largo del territorio nacional, y que al mismo tiempo debe ser la sociedad y no solo los órganos de seguridad quien debe colaborar para obtener un éxito militar satisfactorio frente a los grupos armados al margen de la ley, que lleve a la desmovilización o rendición de sus miembros.​​ Fue presentado por el Presidente y la Ministra de Defensa, Marta Lucía Ramírez, en el departamento de Putumayo el 29 de junio de 2003, siendo uno de los pilares del programa de gobierno de Uribe. Los avances en materia de seguridad, reducción en los índices de violencia, reducción de grupos armados ilegales y control territorial en el periodo 2002 a 2010 son considerados el logro más importante de la presidencia de Álvaro Uribe Vélez y e influyeron en que tuviese altos niveles de popularidad durante ambos mandatos presidenciales; sin embargo, generó críticas entre distintas organizaciones de derechos humanos, relacionadas con abusos en el empleo de la fuerza. (es)
  • La sécurité démocratique est la politique menée par le président colombien Álvaro Uribe durant ses deux mandats, de 2002 à 2010. Elle se caractérise par une augmentation massive des effectifs de la force publique (qui passent de 313 406 éléments en 2002 à 441 828 en 2010), une politique intransigeante vis-à-vis des guérillas (FARC, et ELN en particulier), avec le soutien des États-Unis au travers du Plan Colombie. Une autre composante de cette politique est la conciliation avec les paramilitaires des Autodéfenses unies de Colombie (AUC), aboutissant à un accord de paix prévoyant leur désarmement (accord de Santa Fe de Ralito, le 15 juin 2003). Cette politique connaît de nombreux succès, en particulier dans le domaine de la lutte contre les guérillas : deux membres du secrétariat des FARC (Raúl Reyes et Iván Ríos) sont tués au combat, le gouvernement reprend le contrôle de la plupart des routes et voies de communication importantes du pays, l'étau de la guérilla est rompu autour des grandes villes comme Bogota ou Medellín (six fronts des FARC étaient actifs autour de la capitale en 2002, plus aucun ne l'est en 2010). Cependant cette politique de répression systématique entraine également la mort de milliers de civils, délibérément massacrés par les forces du gouvernement et présentés comme des guérilleros tués au combat (faux positifs) dans l'intention d'améliorer les statistiques sur les succès de cette politique. Ainsi, jusqu'à 1/3 des guérilleros prétendument tués par l'armée durant les deux mandats successifs du président Uribe pourraient en réalité avoir été des civils. En 2010, le rapporteur spécial de l’Organisation des nations unies (ONU) sur les exécutions extrajudiciaires souligne que « le taux actuel d’impunité en relation avec les exécutions prétendument commises par les forces de sécurité, qui atteint jusqu’à 98,5 % selon des sources crédibles, est trop élevé ». Près de 2 400 000 personnes vivant dans les campagnes ont dû abandonner leur village pendant la présidence d'Álvaro Uribe, certaines pour fuir les affrontements armés, d'autres expulsées par les paramilitaires. Le bilan de la démobilisation des AUC est contrasté : plus de 30 000 combattants des AUC rendent les armes dans le cadre de processus dit « Justice et paix », associé à une amnistie partielle, mais 4 500 reprennent les armes dans de nouveaux groupes paramilitaires ou liés au narcotrafic dit « bandes émergentes », dont les Águilas Negras, qui recrutent également 6 000 nouveaux combattants. (fr)
  • Демократическая безопасность или Политика демократической безопасности — концепция политики безопасности, реализованная в ходе правления президента Колумбии Альваро Урибе (2002—2010). Была начата в июне 2003 года. (ru)
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  • Democratic security or Democratic security policy refers to a Colombian security policy implemented during the administration of the Former President Álvaro Uribe (2002-2010). It was unveiled in June 2003. (en)
  • Демократическая безопасность или Политика демократической безопасности — концепция политики безопасности, реализованная в ходе правления президента Колумбии Альваро Урибе (2002—2010). Была начата в июне 2003 года. (ru)
  • La política de seguridad democrática en Colombia fue una política gubernamental del expresidente Álvaro Uribe (2002-2010) que propuso un papel más activo de la sociedad colombiana dentro de la lucha del Estado y de sus órganos de seguridad frente a la amenaza de grupos insurgentes y otros grupos armados ilegales en el marco del conflicto armado interno en Colombia. (es)
  • La sécurité démocratique est la politique menée par le président colombien Álvaro Uribe durant ses deux mandats, de 2002 à 2010. Elle se caractérise par une augmentation massive des effectifs de la force publique (qui passent de 313 406 éléments en 2002 à 441 828 en 2010), une politique intransigeante vis-à-vis des guérillas (FARC, et ELN en particulier), avec le soutien des États-Unis au travers du Plan Colombie. Une autre composante de cette politique est la conciliation avec les paramilitaires des Autodéfenses unies de Colombie (AUC), aboutissant à un accord de paix prévoyant leur désarmement (accord de Santa Fe de Ralito, le 15 juin 2003). (fr)
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  • Política de seguridad democrática (es)
  • Democratic security (en)
  • Sécurité démocratique (fr)
  • Демократическая безопасность (Колумбия) (ru)
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