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- عرب إندونيسيا هم مواطني إندونيسيا من أصول عربية وأغلبيتهم من العرب الحضارمة، شكّلوا فيما بعد قوة اقتصادية من خلال التجارة والاستثمار في العقارات. حاليا يتواجد أغلبيتهم في جاوة وجنوب سومطرة، ويدين جميعهم بالإسلام. (ar)
- Arab Indonesians (Arabic: عربٌ إندونيسيون) or Hadharem (حضارم; sing., Hadhrami, حضرمي), informally known as Jama'ah, and until the 20th century known as Codjas or Kodjas, are Indonesian citizens of mixed Arab – mainly Hadhrami – and Indonesian descent. The group also includes those of Arab descent from other Middle Eastern Arabic speaking nations. Restricted under Dutch East Indies law until 1919, the community elites later gained economic power through real estate investment and trading. Currently found mainly in Java, especially West Java and South Sumatra, they are almost all Muslims. The official number of Arab and part Arab descent in Indonesia was recorded since 19th century. The census of 1870 recorded a total of 12,412 Arab Indonesians (7,495 living in Java and Madura and the rest in other islands). By 1900, the total number of Arabs citizens increased to 27,399, then 44,902 by 1920, and 71,335 by 1930. (en)
- Suku Arab-Indonesia (bahasa Arab: عرب إندونيسي) adalah penduduk Indonesia yang memiliki darah Arab dan Pribumi Indonesia. Pada awal kedatangan, mereka umumnya tinggal di perkampungan Arab yang tersebar di berbagai kota di Indonesia. Pada zaman kolonial Belanda mereka dianggap sebagai bangsa Timur Asing bersama dengan suku Tionghoa-Indonesia dan suku India-Indonesia. (in)
- Les Indonésiens d'origine arabe sont une des minorités « allochtones » reconnues comme telles dans le pays, aux côtés des Indonésiens d'origine chinoise et indienne. Il n'existe pas de statistiques fiables en Indonésie concernant l'ethnicité. Pas plus que les Indonésiens d'origine chinoise ou indienne, on ne peut donc dire que ceux d'origine arabe forment un groupe clairement distinct, ni ethniquement, ni géographiquement. Tout au plus constate-t-on que des familles indonésiennes se présentent comme d'origine arabe. On les reconnaît notamment à l'usage qu'elles font d'un patronyme, pratique peu courante chez la majorité des Indonésiens « de souche ». De nombreux Indonésiens musulmans portent un nom arabe, sans qu'ils soient pour autant d'origine arabe. Un exemple est l'ex-président Abdurrahman Wahid, surnommé Gus Dur, qui se réclame d'ancêtres chinois. Selon la tradition javanaise, l'islam a été introduit à Java par des Chinois, ce qu'illustre le mythe des Wali Sanga, les « Neuf Saints » qui y ont diffusé cette religion. Passant plusieurs fois à Java de 1405 à 1433, l'amiral chinois musulman Zheng He constate la présence de communautés chinoises dans les ports de l'île, dont une partie est musulmane. Demak, le premier royaume musulman attesté de Java, a été fondé à la fin du XVe siècle par un Chinois musulman du nom de Cek Ko Po. Zheng He est l'objet d'un véritable culte à Java, au point que des Chinois musulmans de Surabaya ont inauguré en 2007 une mosquée portant son nom. Pour les Javanais, l'histoire de l'islam est liée à la Chine. À Sumatra et dans le monde malais, l'islam serait liée à des marchands originaires d'Inde et de Perse. Faisant escale à Perlak dans le nord de Sumatra en 1290, Marco Polo constate que le prince est musulman et qu'il a des conseillers persans. Ce tropisme persan est d'ailleurs illustré par les noms de nombreux sultans du monde malais, qui comportent le titre persan de shah, c'est-à-dire « roi », comme Mahmud Shah de Malacca, royaume fondé par un prince bouddhiste de Palembang à Sumatra, Alauddin Riayat Shah de Johor ou Iskandar Shah d'Aceh. Les ancêtres de la plupart des Indonésiens d'origine arabe sont venus du Yémen au XIXe siècle[réf. nécessaire]. Parmi les personnalités indonésiennes d'origine arabe, on note deux anciens ministres des Affaires étrangères, sous l'ex-président Soeharto et Alwi Shihab sous Abdurrahman Wahid, mais aussi Abubakar Ba'asyir, considéré comme le dirigeant spirituel de l'organisation musulmane radicale Jemaah Islamiyah. (fr)
- 阿拉伯裔印尼人,是指有印尼公民權的阿拉伯人和他們的後裔,他們多是來自也門的哈德拉米人。直到1919年受限於荷屬東印度的法律前,他們族群中的精英因投資土地和貿易成為印尼最有錢的社團。他們差不多全是穆斯林,多數生活在爪哇。他們人口是387,254人,而有阿拉伯人血統的印尼人則有5000000人。 (zh)
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- عرب إندونيسيا هم مواطني إندونيسيا من أصول عربية وأغلبيتهم من العرب الحضارمة، شكّلوا فيما بعد قوة اقتصادية من خلال التجارة والاستثمار في العقارات. حاليا يتواجد أغلبيتهم في جاوة وجنوب سومطرة، ويدين جميعهم بالإسلام. (ar)
- Suku Arab-Indonesia (bahasa Arab: عرب إندونيسي) adalah penduduk Indonesia yang memiliki darah Arab dan Pribumi Indonesia. Pada awal kedatangan, mereka umumnya tinggal di perkampungan Arab yang tersebar di berbagai kota di Indonesia. Pada zaman kolonial Belanda mereka dianggap sebagai bangsa Timur Asing bersama dengan suku Tionghoa-Indonesia dan suku India-Indonesia. (in)
- 阿拉伯裔印尼人,是指有印尼公民權的阿拉伯人和他們的後裔,他們多是來自也門的哈德拉米人。直到1919年受限於荷屬東印度的法律前,他們族群中的精英因投資土地和貿易成為印尼最有錢的社團。他們差不多全是穆斯林,多數生活在爪哇。他們人口是387,254人,而有阿拉伯人血統的印尼人則有5000000人。 (zh)
- Arab Indonesians (Arabic: عربٌ إندونيسيون) or Hadharem (حضارم; sing., Hadhrami, حضرمي), informally known as Jama'ah, and until the 20th century known as Codjas or Kodjas, are Indonesian citizens of mixed Arab – mainly Hadhrami – and Indonesian descent. The group also includes those of Arab descent from other Middle Eastern Arabic speaking nations. Restricted under Dutch East Indies law until 1919, the community elites later gained economic power through real estate investment and trading. Currently found mainly in Java, especially West Java and South Sumatra, they are almost all Muslims. (en)
- Les Indonésiens d'origine arabe sont une des minorités « allochtones » reconnues comme telles dans le pays, aux côtés des Indonésiens d'origine chinoise et indienne. Il n'existe pas de statistiques fiables en Indonésie concernant l'ethnicité. Pas plus que les Indonésiens d'origine chinoise ou indienne, on ne peut donc dire que ceux d'origine arabe forment un groupe clairement distinct, ni ethniquement, ni géographiquement. Tout au plus constate-t-on que des familles indonésiennes se présentent comme d'origine arabe. On les reconnaît notamment à l'usage qu'elles font d'un patronyme, pratique peu courante chez la majorité des Indonésiens « de souche ». (fr)
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