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Gillebert (Guillebert) de Berneville (fl. c. 1250–70) was a French trouvère. According to Theodore Karp, in its time, "his poetry was much appreciated", but it is "[n]either original nor profound," rather he was and is admired more for "facility, grace and mastery of form". Fresco lists 35 songs by Gillebert, of which five are unica (found in a single manuscript) and some are copied in up to seven sources.

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  • Gillebert (Guillebert) de Berneville (fl. c. 1250–70) was a French trouvère. According to Theodore Karp, in its time, "his poetry was much appreciated", but it is "[n]either original nor profound," rather he was and is admired more for "facility, grace and mastery of form". Fresco lists 35 songs by Gillebert, of which five are unica (found in a single manuscript) and some are copied in up to seven sources. Gillebert worked within the circle of poets at Arras, which is close to his home town of Berneville, and had contact with the most prominent men of the region. He composed jeux-partis with Henry III, Duke of Brabant, and Thomas Herier. He also entered into competitions under the judgement of Charles of Anjou, Raoul de Soissons, the Châtelain de Beaumetz, Hue d'Arras and perhaps Beatrice, sister of Henry III and widow of William II, Count of Flanders. Gillebert dedicated chansons to Charles of Anjou, Huitace de Fontaines, Béatrice d'Audenarde and Colart le Boutellier. His chanson "Je n'ëusse ja chanté" was "crowned" (couronnée) by the Puy d'Arras, and ten later poems are modeled on works ascribed to him. sought to flatter him in his Arras est escole de tous biens entendre. Fresco dates the poems to the third quarter of the thirteenth century. Gillebert appears in the necrology of the jongleurs and bourgeois of Arras as being celebrated in a mass at Pentecost 1270, so he must have died between this commemorative mass and the previous one (i.e. some time between 2 Feb and 1 June 1270). A performance of the jeu parti between Gillebert and Henry III of Brabant can be found here. (en)
  • Gillebert (Guillebert) de Berneville (fl. c. 1250–70) era un trouvère francés. Según Theodore Karp, en su época, "su poesía era muy apreciada", pero "no es ni original ni profundo," sino que era y es admirado más por su "facilidad, gracia y maestría de forma".​ Fresco enumera 35 canciones de Gillebert, de las cuales cinco son únicas (encontradas en un solo manuscrito) y algunas están copiadas en hasta siete fuentes.​ Gillebert trabajó dentro del círculo de poetas de Arras, el cual es cercano a su ciudad natal de Berneville, y tenía contacto con los hombres más prominentes de la región. Compuso jeux-partis (juegos partidos) con Enrique III, el Duque de Brabant, y Thomas Herier. También entró en competiciones bajo el juicio de Charles de Anjou, Raoul de Soissons, el Châtelain de Beaumetz, Hue d'Arras y quizás Beatrice, hermana de Enrique III y viuda de William II, Conde de Flanders. Gillebert dedicó chansons a Charles de Anjou, Huitace de Fontaines, Béatrice d'Audenarde y Colart le Boutellier. Su chanson "Je n'ëusse ja chanté" fue "coronada" (couronnée) por el Puy d'Arras, y diez poemas posteriores se inspiran en obras que se le atribuyen. Roussiaus le Taillier trató de halagarle en su Arras est escole de tous biens entendre. Fresco data los poemas en el tercer trimestre del siglo XIII. Gillebert Aparece en la necrología de juglares y burgués de Arras que se celebró en masa en Pentecostés de 1270, así que debe de haber muerto entre la fecha de esta conmemoración y la del año anterior (i.e. algún momento entre el 2 de febrero y el 1 de junio de 1270).​ Una interpretación del jeu parti entre Gillebert y Henry III de Brabant se puede ver aquí. (es)
  • Gillebert (Guillebert) de Berneville (actif entre 1250 et 70) est un trouvère. Sa poésie, selon Theodore Karp, était « fort appréciée en son temps, quoique superficielle et dépourvue d'originalité. Il était surtout prisé pour sa facilité, son charme et sa maîtrise formelle ». Fresco a recensé 35 lais de Gillebert, dont cinq ne sont connus que par un seul manuscrit, d'autres étant présents parfois jusque dans sept sources. Gillebert faisait partie du cercle de poètes d'Arras, dont son village natal de Berneville était voisin, et il a été en contact avec les hommes les plus éminents de l'Artois. Il est l'auteur de jeux partis, composés avec Henri III de Brabant et . Il a aussi participé à des joutes poétiques dans les cours de Charles d'Anjou, Raoul de Soissons, du châtelain de Beaumetz Hue d'Arras et peut-être de Béatrice, la sœur d'Henri de Brabant et veuve de Guillaume de Dampierre. Gillebert a dédié ses Chansons à Charles d'Anjou, Huitace de Fontaines, Béatrice d'Audenarde et . Sa chanson « Je n'ëusse jà chanté » a été couronnée par le Puy d'Arras. a fait son éloge dans Arras est escole de tous biens entendre. Karen Fresco date ses poèmes du troisième quart du XIIIe siècle, car Gillebert apparaît dans le « Nécrologue des jongleurs et bourgeois d'Arras » comme bénéficiaire d'une messe à la Pentecôte 1270 ; il n'était donc pas encore mort lors de la messe funèbre précédente (entre le 2 février et le 1er juin 1270). (fr)
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  • Gillebert (Guillebert) de Berneville (fl. c. 1250–70) was a French trouvère. According to Theodore Karp, in its time, "his poetry was much appreciated", but it is "[n]either original nor profound," rather he was and is admired more for "facility, grace and mastery of form". Fresco lists 35 songs by Gillebert, of which five are unica (found in a single manuscript) and some are copied in up to seven sources. (en)
  • Gillebert (Guillebert) de Berneville (fl. c. 1250–70) era un trouvère francés. Según Theodore Karp, en su época, "su poesía era muy apreciada", pero "no es ni original ni profundo," sino que era y es admirado más por su "facilidad, gracia y maestría de forma".​ Fresco enumera 35 canciones de Gillebert, de las cuales cinco son únicas (encontradas en un solo manuscrito) y algunas están copiadas en hasta siete fuentes.​ (es)
  • Gillebert (Guillebert) de Berneville (actif entre 1250 et 70) est un trouvère. Sa poésie, selon Theodore Karp, était « fort appréciée en son temps, quoique superficielle et dépourvue d'originalité. Il était surtout prisé pour sa facilité, son charme et sa maîtrise formelle ». Fresco a recensé 35 lais de Gillebert, dont cinq ne sont connus que par un seul manuscrit, d'autres étant présents parfois jusque dans sept sources. (fr)
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  • Gillebert de Berneville (es)
  • Gillebert de Berneville (en)
  • Gillebert de Berneville (fr)
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