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- Ecophagy is a term coined by Robert Freitas that means the literal consumption of an ecosystem. It derives from the Greek "οἶκος" (oikos), which refers to a "house" or "household", and the Greek "φαγεῖν" (phagein), "to eat". Freitas used the term to describe a scenario involving molecular nanotechnology gone awry. In this situation (called the grey goo scenario) out-of-control self-replicating nanorobots consume entire ecosystems, resulting in global ecophagy.However, the word "ecophagy" is now applied more generally in reference to any event—nuclear war, the spread of monoculture, massive species extinctions—that might fundamentally alter the planet. Scholars suggest that these events might result in ecocide in that they would undermine the capacity of the Earth's biological population to repair itself. Others suggest that more mundane and less spectacular events—the unrelenting growth of the human population, the steady transformation of the natural world by human beings—will eventually result in a planet that is considerably less vibrant, and one that is, apart from humans, essentially lifeless. These people believe that the current human trajectory puts us on a path that will eventually lead to ecophagy.In the paper in which Freitas coined the term he wrote: Perhaps the earliest-recognized and best-known danger of molecular nanotechnology is the risk that self-replicating nanorobots capable of functioning autonomously in the natural environment could quickly convert that natural environment (e.g., "biomass") into replicas of themselves (e.g., "nanomass") on a global basis, a scenario usually referred to as the "grey goo problem" but perhaps more properly termed "global ecophagy". (en)
- L'écophagie est un terme créé par Robert Freitas qui littéralement signifie « consommation d'un écosystème ». Freitas a utilisé pour la première fois ce mot pour décrire un scénario impliquant des nanotechnologies moléculaires défectueuses. Dans cette situation (appelée scénario grey goo — gelée grise), des nanorobots auto-répliquants et devenus hors de contrôle consomment l'ensemble des écosystèmes, résultant en une écophagie mondiale. Ce scénario est déjà présent dans de nombreuses fictions écrites dans les années 1950–1960 (par exemple Philip K. Dick, Second Variety, qui a donné le film Planète hurlante). Il a été repris en 2018 par José Rodrigues dos Santos dans son roman, Signe de vie. Cependant, le mot « écophagie » s'applique désormais plus généralement à n'importe quel événement pouvant profondément altérer la planète : déforestation, désertification, développement de la monoculture, extinctions d'espèces, guerres nucléaires… Les scientifiques suggèrent ainsi que ces événements peuvent avoir pour conséquence la destruction d'un écosystème (ou écocide) car ils vont diminuer la capacité de la Terre à se réparer elle-même. D'autres suggèrent que des événements moins spectaculaires et plus habituels - tels que l'inexorable croissance de la population humaine, la transformation régulière du monde naturel par l'homme — mèneront également à l'appauvrissement des écosystèmes et formes de vie de la planète. Ces personnes estiment que la trajectoire empruntée par l'homme pourrait finalement conduire à une écophagie mondiale si rien n'est mis en place pour la modifier. (fr)
- Il termine ecofagia, coniato da , ricercatore e ingegnere statunitense, significa letteralmente "divoramento dell'ecosistema", dal greco οἶκος (o tardo latino oeco-), "casa, domestico" e φᾰγεῖν "mangiare". Freitas usava il termine per descrivere uno scenario implicante una nanotecnologia molecolare andata storta. In questa situazione (chiamata grey goo) i nanorobot autoreplicanti e fuori controllo consumano interi ecosistemi, provocando un'ecofagia globale.Tuttavia, la parola "ecofagia" è adesso applicata più generalmente in riferimento a ogni guerra o evento nucleare, all'espansione di monoculture, alle estinzioni in massa di specie — che possono alterare in modo irreversibile l'intero pianeta. Gli studiosi pensano che questi eventi possano provocare un ecocidio in quanto pregiudicherebbero la capacità della popolazione biologica della Terra di auto-ripararsi. Altri suggeriscono che eventi più banali e meno spettacolari — come l'inarrestabile crescita della popolazione umana, la continua trasformazione del mondo naturale da parte dell'uomo — farà sì che il pianeta diventi molto meno esuberante e in sostanza, a parte l'uomo, senza vita.Freitas, nel saggio in cui conia il termine ecofagia, scrive: (it)
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- Ecophagy is a term coined by Robert Freitas that means the literal consumption of an ecosystem. It derives from the Greek "οἶκος" (oikos), which refers to a "house" or "household", and the Greek "φαγεῖν" (phagein), "to eat". (en)
- L'écophagie est un terme créé par Robert Freitas qui littéralement signifie « consommation d'un écosystème ». Freitas a utilisé pour la première fois ce mot pour décrire un scénario impliquant des nanotechnologies moléculaires défectueuses. Dans cette situation (appelée scénario grey goo — gelée grise), des nanorobots auto-répliquants et devenus hors de contrôle consomment l'ensemble des écosystèmes, résultant en une écophagie mondiale. Ce scénario est déjà présent dans de nombreuses fictions écrites dans les années 1950–1960 (par exemple Philip K. Dick, Second Variety, qui a donné le film Planète hurlante). Il a été repris en 2018 par José Rodrigues dos Santos dans son roman, Signe de vie. (fr)
- Il termine ecofagia, coniato da , ricercatore e ingegnere statunitense, significa letteralmente "divoramento dell'ecosistema", dal greco οἶκος (o tardo latino oeco-), "casa, domestico" e φᾰγεῖν "mangiare". Altri suggeriscono che eventi più banali e meno spettacolari — come l'inarrestabile crescita della popolazione umana, la continua trasformazione del mondo naturale da parte dell'uomo — farà sì che il pianeta diventi molto meno esuberante e in sostanza, a parte l'uomo, senza vita.Freitas, nel saggio in cui conia il termine ecofagia, scrive: (it)
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