. "La F\u00E9d\u00E9ration nationale des mines et de l'\u00E9nergie (FNME-CGT), aussi d\u00E9nomm\u00E9e CGT Mines-\u00C9nergie, est une f\u00E9d\u00E9ration syndicale fran\u00E7aise affili\u00E9e \u00E0 la Conf\u00E9d\u00E9ration g\u00E9n\u00E9rale du travail (CGT). Au niveau europ\u00E9en, elle est affili\u00E9e \u00E0 la F\u00E9d\u00E9ration europ\u00E9enne des syndicats des mines, de la chimie et de l\u2019\u00E9nergie et \u00E0 la F\u00E9d\u00E9ration syndicale europ\u00E9enne des services publics. Au niveau international, elle est membre de l'Internationale des services publics et de IndustriALL global union. La CGT Mines-\u00C9nergie est issue de l'union entre la F\u00E9d\u00E9ration nationale des travailleurs du sous-sol CGT (FNTSS-CGT) et la F\u00E9d\u00E9ration nationale de l'\u00E9nergie CGT (FNE-CGT), ent\u00E9rin\u00E9e lors du congr\u00E8s de Grenoble, en 1999. Elle regroupe les salari\u00E9s des mines, des industries \u00E9lectrique et gazi\u00E8re, du secteur de l\u2019\u00E9nergie atomique et des filiales qui s\u2019y rattachent. L'Union f\u00E9d\u00E9rale des ing\u00E9nieurs, cadres et techniciens (UFICT) est cr\u00E9\u00E9e en juin 2000 au sein de la CGT. En avril 2006, la CGT indiquait syndiquer 75 000 des 525 000 salari\u00E9s du secteur \u00E9nergie, soit un taux de 14 %. En mars 2010, Virginie Gensel est la premi\u00E8re femme \u00E9lue secr\u00E9taire g\u00E9n\u00E9rale de la CGT Mines-\u00C9nergie, et succ\u00E8de \u00E0 son compagnon Fr\u00E9d\u00E9ric Imbrecht En janvier 2011, elle \u00E9tait constitu\u00E9e de 60 000 syndiqu\u00E9s et 350 syndicats en France m\u00E9tropolitaine.[r\u00E9f. n\u00E9cessaire] La CGT Mines-\u00C9nergie est constitu\u00E9 de 3 secteurs d'activit\u00E9s : \n* les mines, \n* l'\u00E9nergie atomique \n* les industries \u00E9lectriques et gazi\u00E8res (IEG), branche professionnelle reconnue."@fr . "63493650"^^ . "1072317014"^^ . . . . "1719"^^ . . "F\u00E9d\u00E9ration nationale des mines et de l'\u00E9nergie CGT"@fr . . . . . . "La F\u00E9d\u00E9ration nationale des mines et de l'\u00E9nergie (FNME-CGT), aussi d\u00E9nomm\u00E9e CGT Mines-\u00C9nergie, est une f\u00E9d\u00E9ration syndicale fran\u00E7aise affili\u00E9e \u00E0 la Conf\u00E9d\u00E9ration g\u00E9n\u00E9rale du travail (CGT). Au niveau europ\u00E9en, elle est affili\u00E9e \u00E0 la F\u00E9d\u00E9ration europ\u00E9enne des syndicats des mines, de la chimie et de l\u2019\u00E9nergie et \u00E0 la F\u00E9d\u00E9ration syndicale europ\u00E9enne des services publics. Au niveau international, elle est membre de l'Internationale des services publics et de IndustriALL global union. En avril 2006, la CGT indiquait syndiquer 75 000 des 525 000 salari\u00E9s du secteur \u00E9nergie, soit un taux de 14 %."@fr . . "The National Federation of Mines and Energy (French: F\u00E9d\u00E9ration nationale des mines et de l'\u00E9nergie, FNME) is a trade union representing workers in the energy and mining industries, in France. The union was founded in 1999, when the National Federation of Miners merged with the National Federation of Energy. Like its predecessors, it is affiliated to the General Confederation of Labour (CGT). On formation, the union had 91,000 members, making it the largest CGT member, but this figure has fallen, as employment in the sectors has dropped. The union has three sections: gas and electric, mines, and atomic energy."@en . . . . "National Federation of Mines and Energy"@en . "The National Federation of Mines and Energy (French: F\u00E9d\u00E9ration nationale des mines et de l'\u00E9nergie, FNME) is a trade union representing workers in the energy and mining industries, in France. The union was founded in 1999, when the National Federation of Miners merged with the National Federation of Energy. Like its predecessors, it is affiliated to the General Confederation of Labour (CGT). On formation, the union had 91,000 members, making it the largest CGT member, but this figure has fallen, as employment in the sectors has dropped. The union has three sections: gas and electric, mines, and atomic energy."@en . . . . . . . .