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| - "Ozymandias" (/ˌɒziˈmændiəs/ OZ-ee-MAN-dee-əs) is the title of a sonnet published in 1818 by Horace Smith (1779–1849). Smith wrote the poem in friendly competition with his friend and fellow poet Percy Bysshe Shelley. Shelley wrote and published "Ozymandias" in 1818. Smith's poem was published in The Examiner three weeks after Shelley's, on February 1, 1818. It explores the fate of history and the ravages of time: even the greatest men and the empires they forge are impermanent, their legacies fated to decay into oblivion. (en)
- Ozymandias est un poème écrit par Horace Smith en 1818, à ne pas confondre avec le poème de Percy Bysshe Shelley sur le même sujet. Shelley avait écrit le même sonnet en concurrence avec son ami Horace Smith, car Smith a publié le sien un mois après Shelley, dans la même librairie, avec le même sujet, la même histoire, et la même morale. Il a été à l'origine publié sous le même titre que le sonnet de Shelley, Ozymandias. — Horace Smith — Traduction libre
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| - "Ozymandias" (/ˌɒziˈmændiəs/ OZ-ee-MAN-dee-əs) is the title of a sonnet published in 1818 by Horace Smith (1779–1849). Smith wrote the poem in friendly competition with his friend and fellow poet Percy Bysshe Shelley. Shelley wrote and published "Ozymandias" in 1818. Smith's poem was published in The Examiner three weeks after Shelley's, on February 1, 1818. It explores the fate of history and the ravages of time: even the greatest men and the empires they forge are impermanent, their legacies fated to decay into oblivion. (en)
- Ozymandias est un poème écrit par Horace Smith en 1818, à ne pas confondre avec le poème de Percy Bysshe Shelley sur le même sujet. Shelley avait écrit le même sonnet en concurrence avec son ami Horace Smith, car Smith a publié le sien un mois après Shelley, dans la même librairie, avec le même sujet, la même histoire, et la même morale. Il a été à l'origine publié sous le même titre que le sonnet de Shelley, Ozymandias. Le poème de Smith s'abstient d'énoncer une morale spécifique, et présente à la place un tableau vif, laissant aux lecteurs la possibilité de tirer leurs propres conclusions. L'affectif négatif contre la tyrannie est si fort, cependant, que peu de lecteurs sont susceptibles de conclure qu'Ozymandias a subi les affres du temps et des éléments. En revanche, l'image de Londres détruite a moins d'effet que la statue d'Ozymandias. En outre, en ne gaspillant pas ses mots pour transmettre une "morale", Smith peut comprimer une vision complète en quelques vers, et incorpore dans son poème des idées entièrement absentes de la poésie de Shelley. In Egypt's sandy silence, all alone,Stands a gigantic Leg, which far off throwsThe only shadow that the Desert knows: –"I am great OZYMANDIAS", saith the stone,"The King of Kings; this mighty City shows"The wonders of my hand." – The City's gone, –Nought but the Leg remaining to discloseThe site of this forgotten Babylon.We wonder, – and some Hunter may expressWonder like ours, when thro' the wildernessWhere London stood, holding the Wolf in chace,He meets some fragments huge, and stops to guessWhat powerful but unrecorded raceOnce dwelt in that annihilated place. — Horace Smith Dans le sablonneux silence de l'Égypte, isolée,Se dresse une Jambe gigantesque, qui jette au loinLa seule ombre que le Désert connaisse :« Je suis le grand OZYMANDIAS, proclame la pierre, Le Roi des Rois ; cette puissante Cité montre Les merveilles issues de ma main. » — La Cité s'en est allée, —Rien si ce n'est la Jambe ne subsisteDu site de cette Babylone oubliée.Nous nous questionnons, – ainsi que certain Chasseur voulant expliquerDes Merveilles comme les nôtres, lorsqu’à travers l'endroit désormais sauvageOù Londres se tenait, guettant le Loup en chasse,Il rencontre des fragments énormes, et s'arrête pour chercherQuelle race puissante mais inconnueHabitait autrefois ce lieu anéanti. — Traduction libre
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