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The English language uses many Greek and Latin roots, stems, and prefixes. These roots are listed alphabetically on three pages: * Greek and Latin roots from A to G * Greek and Latin roots from H to O * Greek and Latin roots from P to Z. Some of those used in medicine and medical technology are listed in the List of medical roots, suffixes and prefixes.

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  • Racine grecque (fr)
  • List of Greek and Latin roots in English (en)
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  • The English language uses many Greek and Latin roots, stems, and prefixes. These roots are listed alphabetically on three pages: * Greek and Latin roots from A to G * Greek and Latin roots from H to O * Greek and Latin roots from P to Z. Some of those used in medicine and medical technology are listed in the List of medical roots, suffixes and prefixes. (en)
  • Les racines grecques sont des radicaux linguistiques ayant pour origine le grec ancien. Très répandues dans les langues occidentales modernes, leur déformation par l'usage est parfois telle qu'il n'est pas évident de les reconnaître [voir par exemple aimant, boutique, écureuil, église, paroisse, police (d'assurance ou de caractères), prêtre, taie, ou encore l'anglais surgeon]. (fr)
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  • Les racines grecques sont des radicaux linguistiques ayant pour origine le grec ancien. Très répandues dans les langues occidentales modernes, leur déformation par l'usage est parfois telle qu'il n'est pas évident de les reconnaître [voir par exemple aimant, boutique, écureuil, église, paroisse, police (d'assurance ou de caractères), prêtre, taie, ou encore l'anglais surgeon]. Depuis la Renaissance, la langue française en fait grand usage en les associant entre elles pour la construction de mots savants et de néologismes. Les nouveaux mots ainsi formés (téléphone, cinématographe, pédiatre…) sont de ce fait compréhensibles d'emblée par un public lettré. La grande majorité de ces mots relèvent du vocabulaire scientifique, technique ou médical. Mais, à l'instar de Umberto Eco, on peut, par humour, inventer des mots de fantaisie constitués selon le même procédé de juxtaposition, comme l'illustrent les exemples suivants (dont certains sont peut-être appelés à devenir, comme chronophage, d'usage courant) : chronophage, hippocampéléphantocamélos, orchidoclaste, podoclaste (pour « casse-pieds »), pseudopyge (pour « faux-cul »), tétrapilectomie, myiosodomite ou encore xyloglossie (pour « langue de bois »), etc. Le français, contrairement aux autres langues latines dont l'orthographe est majoritairement phonologique, s'efforce de respecter assez fidèlement, notamment depuis le XIXe siècle, et selon des normes de translittération relativement rigoureuses (surtout en ce qui concerne les consonnes), l'orthographe originelle des mots grecs. C'est ainsi que l'on écrit en français chlorophylle, dysphagie, orthographe, philosophie, phytothérapie, polyglotte, psychologie, xénophobie et xylophone, alors que l'on rencontre, dans leurs lexiques respectifs, les mots roumain clorofilă, italien disfagia, asturien ortografía, romanche filosofia, occitan fitoterapia, espagnol políglota, catalan psicologia, portugais xenofobia et galicien xilófono. Toutefois, cette rigueur orthographique (encore maintenue en anglais) a connu quelques assouplissements puisque l'on écrit aujourd'hui , et , et non plus ophthalmie, phthisie et rhythme, comme les écrivait Littré dans son ; quant aux mots anglais correspondants, ils s'écrivent : ophthalmia, phthisis et rhythm. Il arrive assez fréquemment qu'un mot français dérive d'un mot grec par l'intermédiaire d'un mot latin. Dans ce cas, le mot français est indiqué, dans l'une des 24 listes classées ci-dessous par initiale, en regard du mot grec originel ; voir par exemple, dans l'une de ces listes, les racines augm-, -carcér-, cupr-1, cygn-, purpur- ou prêtr-. La langue grecque a pris l'habitude, fréquente au moins depuis Homère, de forger des mots par juxtaposition de deux racines grecques (comme le fait l'allemand moderne, mais plus subtilement, car le grec respecte certaines règles phonologiques concernant une éventuelle élision à la fin du premier mot ou une modification du début du second). On rencontre ainsi, dans l'Odyssée, l'adjectif ῥοδοδάκτυλος [ῥόδο(ν)-δάκτυλος, aux doigts de rose, qualificatif de l'Aurore Ἠώς] ou le surnom γλαυκῶπις [γλαυκ(ός)-ὦπις, aux yeux pers, qualificatif de la déesse Athéna Ἀθηνᾶ]. S'inspirant du même procédé, la grande majorité des mots savants français issus du grec ont été et sont encore forgés à partir de deux mots grecs. Certains mots scientifiques ont même été formés en juxtaposant plus de deux mots grecs ; parmi ces cas très exceptionnels, on peut citer Hypsilophodon (formé à partir des racines grecques hypsi- [ὕψος], loph- [λόφος] et -odon [ὁδούς, -όντος]), Triceratops (où l'on reconnaît les racines grecques tri- [τρεῖς], -cera- [κέρας, -ατος] et -ops [ὤψ]) ou même Nanobiotechnologie (à partir des quatre racines nano- [νᾶνος], -bio- [βίος], -techno- [τέχνη] et -logie [λόγος]). Il arrive aussi qu'on ait forgé certains mots français en faisant suivre un mot latin d'un mot grec ou inversement, bien qu'il ait longtemps été interdit de juxtaposer ainsi une racine latine et une racine grecque (et ce tabou est encore très largement respecté par les puristes qui qualifient de « monstre » de tels hybrides) ; certains auteurs le font cependant intentionnellement pour donner au terme ainsi forgé une connotation péjorative (par exemple, le terme méritocratie, forgé en 1958 par le sociologue anglais Michael Dunlop Young). Les premiers mots à faire exception à cette règle implicite furent, après fructidor et messidor (proposés par Fabre d'Églantine), sociologie (par Auguste Comte) et homosexualité (par Karl-Maria Kertbeny). L'une des plus répandues de ces exceptions est automobile. (fr)
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