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- Man schätzt die Zahl der Shintō-Schreine in Japan auf mehr als 150.000. Die Vielzahl der kleineren Schreine sind üblicherweise ein einzelnes Gebäude; es können jedoch weitere Bauwerke auf dem Schreingelände vorhanden sein wie Gebetshallen, Reinigungshallen, Hallen für Opfergaben (heiden), Gebäude für Tanzaufführungen, Laternen, Zäune, Steinwälle oder Torii. Die Bezeichnung Nationalschatz wird seit 1897 verwendet, um besonders bedeutsame Kulturgüter zu bezeichnen. Auch wenn sich die Definition und die Kriterien für Nationalschätze im Laufe der Zeit änderten, folgt die nachstehende Liste den Bestimmungen des gegenwärtig gültigen Kulturgutschutzgesetzes von 1951. Die Nationalschätze wurden vom Ministerium für Bildung, Kultur, Sport, Wissenschaft und Technologie aufgrund ihres „besonders hohen historischen oder künstlerischen Wertes“ ausgewählt. Die Liste umfasst 39 Teile von Schreinanlagen, die zu Nationalschätzen deklariert wurden und die vom 12. Jahrhundert, der Heian-Zeit an, bis zur vormodernen Edo-Zeit reichen. Teilweise sind einzelne Nationalschätze, die aus mehreren Teilen bestehen in der Tabelle in mehrere Einträge zerteilt, sodass die Zahl der Einträge größer ist als die Anzahl der deklarierten Nationalschätze. Zu den Baustrukturen, die Teil einer Schreinanlage und Gegenstand der Deklaration sind, gehören: die Haupthalle (honden), Gebetshallen (haiden), Reinigungsstätten (haraedono), Hallen für die Opfergaben (heiden) und Tore. (de)
- The number of Shinto shrines in Japan today has been estimated at more than 150,000. Single structure shrines are the most common. Shrine buildings might also include oratories (in front of main sanctuary), purification halls, offering halls called heiden (between honden and haiden), dance halls, stone or metal lanterns, fences or walls, torii and other structures. The term "National Treasure" has been used in Japan to denote cultural properties since 1897.The definition and the criteria have changed since the inception of the term. The shrine structures in this list were designated national treasures when the Law for the Protection of Cultural Properties was implemented on June 9, 1951. As such they are eligible for government grants for repairs, maintenance and the installation of fire-prevention facilities and other disaster prevention systems. Owners are required to announce any changes to the National Treasures such as damage or loss and need to obtain a permit for transfer of ownership or intended repairs. The items are selected by the Ministry of Education, Culture, Sports, Science and Technology based on their "especially high historical or artistic value". This list presents 42 entries of national treasure shrine structures from 12th-century Classical Heian period to the early modern 19th-century Edo period. The number of structures listed is actually more than 42, because in some cases groups of related structures are combined to form a single entry. The structures include main halls (honden), oratories (haiden), gates, offering halls (heiden), purification halls (haraedono) and other structures associated with shrines. (en)
- Le nombre de sanctuaires shinto au Japon est estimé aujourd'hui à plus de 150 000. Les sanctuaires à structure unique sont les plus communs. Les bâtiments des sanctuaires peuvent également compter des oratoires (devant le sanctuaire principal), des salles de purification, des salles d'offrandes appelées heiden (entre le honden et le haiden), une salle de danse, des lanternes de pierre ou de fer, des murs ou des clôtures, des toriis et autres édifices. Le terme « trésor national » est utilisé au Japon pour désigner les biens culturels importants les plus précieux depuis 1897. La définition et les critères ont changé depuis la création du terme. Les structures de sanctuaires de cette liste ont été classées Trésors nationaux quand la loi sur la protection des biens culturels est entrée en vigueur le 9 juin 1951. Comme tels, ils sont admissibles aux subventions gouvernementales pour les réparations, l'entretien et l'installation de systèmes de prévention des incendies et d'autres systèmes de prévention de catastrophes. Les propriétaires sont tenus d'annoncer à l'administration du Trésor national toute modification survenue, telle qu'un dommage ou une perte et doivent obtenir un permis pour un changement d'emplacement, un transfert de propriété ou des réparations envisagées. Les pièces sont choisies par le ministère de l'Éducation, de la Culture, des Sports, des Sciences et de la Technologie sur le fondement de leur « valeur artistique ou historique particulièrement élevée ». Cette liste présente trente-huit entrées structures[pas clair] de sanctuaires Trésor nationaux à partir du XIIe siècle classique (époque de Heian) jusqu'au début du XIXe siècle moderne (fin de l'époque d'Edo). En fait, le nombre de structures référencées est supérieur à trente-huit parce que dans certains cas, des groupes de structures connexes sont combinés pour former une seule entrée. Ces structures comprennent les bâtiments principaux (honden), oratoires (haiden), les portes, les salles des offrandes (heiden), les salles de purification (haraedono) et autres édifices en rapport avec les sanctuaires. La pratique du marquage des lieux sacrés commence au Japon dès la période Yayoi (d'environ 500 avant J.-C. à 300 après J.-C.) et provient de croyances religieuses primitives. Les caractéristiques du paysage tels que les rochers, les cascades, les îles et les montagnes en particulier, sont des lieux supposés être capables d'attirer les kamis et sont en conséquence adorés en tant que yorishiro. À l'origine, les lieux sacrés peuvent avoir été tout simplement indiqués par une clôture et une porte d'entrée ou torii. Plus tard, des structures temporaires semblables à l'actuel sanctuaire portable sont construits pour accueillir les dieux à l'endroit sacré, lequel finit par évoluer en bâtiments permanents consacrés aux dieux. Les anciens sanctuaires sont construits selon le style de logements (Izumo-taisha) ou d'entrepôts (Ise-jingū). Les bâtiments sont pourvus de toits à pignons, de sols surélevés, de murs de planches et sont couverts de chaume de roseaux ou d'écorce de cyprès du Japon. Ces anciens sanctuaires ne disposent pas d'espace consacré au culte. Il existe trois importants styles architecturaux pour les anciens sanctuaires : le taisha-zukuri, le shinmei-zukuri et le sumiyoshi-zukuri. Ces trois styles sont représentés par Izumo-taisha, Nishina Shinmei-gū et Sumiyoshi-taisha respectivement et datent d'avant 552. En accord avec la tradition shikinen sengū-sai (式年遷宮祭), les bâtiments ou les sanctuaires ont été scrupuleusement reconstruits à intervalles réguliers en restant fidèles à leur conception originale. Ainsi les styles anciens ont-ils été reproduits à travers les siècles jusqu'à nos jours. À partir du milieu du VIe siècle, alors que le bouddhisme est introduit au Japon en provenance de Baekje, de nouveaux styles architecturaux de sanctuaires apparaissent. Le modèle actuel de sanctuaire shinto est d'origine bouddhiste. Le concept de temples comme lieu de rassemblement est appliqué aux sanctuaires. Des espaces de culte sont ajoutés sous forme de toits allongés ou de salles de culte (haiden) en plus du bâtiment principal (honden). Les éléments stylistiques suivants de l'architecture bouddhiste de temple sont assimilés et appliqués aux sanctuaires japonais : la base de colonne en pierre, les tasseaux, les toits recourbés, les surfaces peintes, les ornements de métal, les couloirs et les pagodes. À la fin du VIIIe siècle, tandis que les styles architecturaux évoluent, de nouveaux éléments sont ajoutés comme en témoignent Kasuga-zukuri, (Kasuga-taisha et Hakusandō/Kasugadō à Enjō-ji), le toit « coulant » ou nagare-zukuri (Kamo-jinja), hachiman-zukuri (Usa Hachiman-gū) et hiyoshi-zukuri (Hiyoshi Taisha). Le nagare-zukuri est toujours le style le plus populaire, suivi du kasuga-zukuri. Le honden d'Ujigami-jinja date de cette époque. À la fin de l'époque de Heian, les toriis et les clôtures sont souvent remplacées par des portes à deux niveaux et de grandes colonnades imitées de l'architecture des temples. L'influence du style résidentiel shinden-zukuri des palais et des manoirs est manifeste dans des sanctuaires tels qu'Itsukushima-jinja. Le sanctuaire auxiliaire Marōdo à Itsukushima-jinja date du XIIIe siècle, (époque de Kamakura), et les honden et haiden de Kibitsu-jinja du XVe siècle (époque Muromachi). À la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe siècle, durant l'époque Azuchi Momoyama, le ishi-no-ma-zukuri apparaît comme nouveau plan de construction de sanctuaires. Le bâtiment principal est réuni à l'oratoire par l'intermédiaire d'un édifice de liaison appelé ai-no-ma, dérivé du style hachiman-zukuri. Les honden de Kitano Tenman-gū et Ōsaki Hachiman-gū sont des exemples du ishi-no-ma-zukuri. Tōshō-gū achevé en 1636 date de l'époque d'Edo. Il s'agit d'un complexe assemblage de sanctuaires richement ornés, de temples et d'un mausolée. Ces complexes sont le résultat du shinbutsu shūgō (syncrétisme du shintoïsme et du bouddhisme) qui commence à se manifester à l'époque de Heian ; Kitano Tenman-gū, construit en 947 pour l'esprit de Sugawara no Michizane, est le premier de ces byō ou jingū-ji. (fr)
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- Man schätzt die Zahl der Shintō-Schreine in Japan auf mehr als 150.000. Die Vielzahl der kleineren Schreine sind üblicherweise ein einzelnes Gebäude; es können jedoch weitere Bauwerke auf dem Schreingelände vorhanden sein wie Gebetshallen, Reinigungshallen, Hallen für Opfergaben (heiden), Gebäude für Tanzaufführungen, Laternen, Zäune, Steinwälle oder Torii. (de)
- The number of Shinto shrines in Japan today has been estimated at more than 150,000. Single structure shrines are the most common. Shrine buildings might also include oratories (in front of main sanctuary), purification halls, offering halls called heiden (between honden and haiden), dance halls, stone or metal lanterns, fences or walls, torii and other structures. The term "National Treasure" has been used in Japan to denote cultural properties since 1897.The definition and the criteria have changed since the inception of the term. The shrine structures in this list were designated national treasures when the Law for the Protection of Cultural Properties was implemented on June 9, 1951. As such they are eligible for government grants for repairs, maintenance and the installation of fire-p (en)
- Le nombre de sanctuaires shinto au Japon est estimé aujourd'hui à plus de 150 000. Les sanctuaires à structure unique sont les plus communs. Les bâtiments des sanctuaires peuvent également compter des oratoires (devant le sanctuaire principal), des salles de purification, des salles d'offrandes appelées heiden (entre le honden et le haiden), une salle de danse, des lanternes de pierre ou de fer, des murs ou des clôtures, des toriis et autres édifices. Le terme « trésor national » est utilisé au Japon pour désigner les biens culturels importants les plus précieux depuis 1897. (fr)
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